22 février 2010
KLIMT ROZENBERG inclassable nerveux énervé
Certes KLIMT ROZENBERG ne fait pas dans la facilité: chant féminin lorsque leurs influences trainent du côté des belges de dEUS ou des amerloques de Black Rebel Morcycle Club, performance scénique d'un guitariste avec changement de corde en plein set, mise en scène du guitariste leader avec sa chanteuse, bassiste et batteur aussi discrets que performants, bref leur première prestation au Cargö de Caen a été pour eux l'occasion de présenter leurs compositions (ou non-reprises) aux oreilles d'un public de fans et non-fans présents samedi soir dans la salle Caennaise.
Alors que d'autres comme "Tall Dukes" se contentent de reprises (et même de titres antédiluviens comme "Flashdance", moins de 20 ans s'abstenir ! ) ou "Hum !", bien que très efficaces, ont adoptés un style reconnaissable avant même de les avoir entendu, les KLIMT ont décidés de s'aventurer sur les terres vierges Normandes pour tracer leur voie…suivre leurs infos sur leur myspace (lien sur ce blog).
Longue route à Klimt !
21:38 | Lien permanent | Commentaires (1)
20 février 2010
Here comes the sun
8h37 : j'ai vu le soleil aujourd'hui.
KLIMT ROZENBERG en concert ce soir au Cargo de Caen.
08:41 | Lien permanent | Commentaires (0)
19 février 2010
Take the cool train #2
Somewhere between day and night.
15:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
18 février 2010
Take the cool train
and never come back.
23:17 | Lien permanent | Commentaires (0)
17 février 2010
Back to Shalla-Bal
Satch is watching you.
18:54 | Lien permanent | Commentaires (0)
16 février 2010
Distorsion 2
Surtout ne pas s'arrêter au rouge.
21:49 | Lien permanent | Commentaires (0)
14 février 2010
14 ans
ça pousse en attendant les bourgeons.
23:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
13 février 2010
13 on rêve
Sous la neige il y a du bleu.
22:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
12 février 2010
12 ça bouge
Rien de tel que la distorsion.
20:17 | Lien permanent | Commentaires (0)
11 février 2010
Terre de froid
Les flocons tombent et les pierres poussent.
21:51 | Lien permanent | Commentaires (0)